Artaud. Antonin Artaud : c'était le nom de celui que Roman lisait. Je lisais sa lecture ensuite : les phrases qu'il avait soulignées. Je me souviens de ça, dans une lettre écrite à Rodez, je crois, fin 1945 : l'état d'âme fait oublier l'âme. Moi je le dirais comme ça : l'état d'âme empêche l'âme de venir.