C'est une chose fragile que la lumière du jour. On y grandit. On y marche. On attend quelque chose, on ne sait trop quoi.
Oui, mais voilà : où trouver la force d'attendre, quand le visage aimé est recouvert de terre ?
Toute lumière nous venait de ce visage.
Maintenant, on n'y voit plus.