Elle se lève,emprunte la veste de sa mère. Ce n'est pas qu'il fasse froid,mais toute cette pluie vous fait un cœur frileux,vous donne envie de voler à la mère la chaleur qu'elle ne sait plus offrir,qu'elle retient dans le velours de ses châles,dans la laine de ses pulls,dans la fourrure de ses manteaux.