Et puis, permettez-moi cette insolence, le miracle est que par endroits vous écriviez si mal : dans chacun de vos livres j'ai trouvé une zone d'ennui, un marais où l'histoire devenait brumeuse et où les phrases n'avançaient presque plus. J'ai bientôt compris que ces pertes étaient indispensables à l'éclat du livre, qu'elles étaient même une partie constituante de cet éclat, comme les broussailles font corps avec la clairière qu'elles protègent.