Je lis pour faire sa place à la douleur. Je lis pour voir, pour bien voir – mieux que dans la vie – l’étincelante douleur de vivre. Je ne lis pas pour être consolée, puisque je suis inconsolable. Je le lis pas pour comprendre puisqu’il n’y a rien à comprendre. Je lis pour voir la vie en souffrance dans ma vie – simplement voir.