Je regarde un arbre d'un vert multiple, soumis aux ondées de l'air et de l'espace. Ancien déjà, il va mendier la lumière tout en haut, gêné par d'autres feuillages trop proches, il va, quand même. Il décourage toute intelligence du monde. Il faudrait apprendre une telle langue, la sienne, on ne sait pas.