Je suis rentré chez moi, je me suis allongé sur le lit. Ma mort semblait aussi accablée que moi par la chaleur. Quelques minutes ont passé. Je me suis levé, j’ai préparé un café et j’ai ouvert un livre de poèmes. De la lumière sortait du livre. Je crois que c’est à cet instant-là que ma mort s’en est allée de l’appartement en traversant la porte, sans faire de bruit.