Je te parle à vois basse, je te parle à voix folle, j'emprunte la voix des gens du douzième siècle pour te parler, j'emprunte les mots de rose et d'églantier, les sentes d'amour courtois (...) j'ai compris que, comme pour la vie, il ne fallait écouter absolument personne et ne parler d'une mort que comme on parle d'un amour.