L'absence de l'enfant n'est peut être que le nom le plus pur de sa présence : éparpillé dans son coeur, il touche aux étoiles comme aux insectes, aux feuilles des arbres comme au visage des mourants. L'enfant aux yeux gris cendre revient vers vous. Essoufflé par ses jeux, il s'assoit à vos côtés. Il vous parle de son école. Comme d'un travail, il en parle. Il a raison, puisque le travail, c'est d'être où l'on n'a pas choisi d'être, où l'on est contraint de demeurer - loin de soi et de tout.