Quand j’aime je suis dans ma propre vie comme dans une histoire à l’intérieur de laquelle j’aurais tout à coup disparu : c’est l’autre qui requiert toute mon attention. Je me trouve devant la bonté comme devant les hiéroglyphes avant la venue de Champollion. Je suis affamé de bonté. Or, la bonté est ainsi faite que plus on en a moins on en a. C’est elle que j’espère déchiffrer sur les visages.