Qu'est ce qui me fait si peur dans l'été ? Ce n'est pas ta mort, puisque cette peur existait avant elle. C'est, je crois, la glorification par elle-même d'une société jeune, vive, aisée, cette sinistre euphorie d'un monde méprisant ses vaincus : l'été, ce n'est pas pour les prisonniers, les malades, les vieillards, les pauvres.