Si, comme ça, calmement, simplement, je cherche à formuler ce que j'aime en toi, je dirai que c'est ta liberté - c'est à dire ce point de ton cœur où tu devenais à toi-même imprévisible, c'est à dire encore ce qui, dans ton cœur, contrariait les désirs que l'on pouvait concevoir en toi, c'est à dire enfin ton amour et ton intelligence, car l'amour réel, l'intelligence charnelle et la liberté vécue ne font en nous qu'un seul cœur battant, volant.