L'idée d'un chimérique renoncement aux livres : naïveté de ce rêve qui vient à ceux qui veillent trop tard, trop longtemps, sur trop de livres. Non. L'issue, s'il y en a une, serait dans une généralisation de la maladie : mobilisant pour chaque seconde de chaque jour ce désespoir d'abord circonscrit à la seule chambre de lecture, d'abord actif dans le seul temps de lire. Contemplant tout, visage, aurore, pierre, comme autant de livres proposés.