S. est en proie à la maladie de la perfection. Elle pense que tout ce qu’elle fait est incomplet, mauvais, raté. Elle voudrait qu’une seconde vie lui soit donnée comme un beau papier blanc sur lequel elle pourrait recopier la première, en lui enlevant ses taches et ses ratures. Elle ne voit pas que le brouillon, c’est la vie même.