Sous les ponts, des cartons pliés. Ce sont les maisons des clochards. Les maison de thé japonaises ont des murs en papier fin, des cloisons qui coulissent comme une phrase ouvrant naturellement sue la phrase suivante. Leurs habitants mangent et dorment à l'intérieur d'un poème. Je m'éloigne des cartons fatigués. Ce sont les poèmes de la vie malheureuse.