Il n’y a dans une vie que quatre ou cinq événements fondateurs, quatre ou cinq jaillissements de l’absolu. Ton sourire est un de ces événements qui enflamment la nuit où je m’en vais confiant
Ce journal de la veille dans le caniveau : un gant mort, une ruche en ruine. Si les poèmes ne connaissent pas cette fin c'est parce qu'ils donnent des nouvelles du ciel, jamais du monde.
Comprends - moi : je veux juste te dire que respirer, simplement respirer sans toi, faire un pas en direction de la fenêtre que la neige dévore, c'est recevoir des milliards de coups de couteau.
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