Aux fleurs de cerisier tambourinant sur le cœur d’une servante du onzième siècle japonais, j’ajoute cette vision à l’entrée de l’automne : une feuille morte qui s’arrache d’un tremble, à deux pas de moi. Cambrée, sa tête jetée en arrière, sa poitrine brune craquelée tendue en avant, elle tombe en pâmoison comme les héroïnes dans les romans du dix-neuvième siècle.