Un jour il nous faudra traverser une vitre sans la briser. L’effort sera terrible, qui changera notre coeur en rayon de soleil. Mourir sans effrois est le privilège des nuages.
Mon bon Ryokan,
J'ai interrogé les livres et je leur ai demandé quel était le sens de la vie, mais ils n'ont pas répondu. (...)
J'ai aimé les livres pour ce qu'ils étaient, des blocs de paix, des respirations si lentes qu'on les entend à peine.
Il faut avoir une force terrible pour supporter de lire un seul poème. Aller au-devant d’une phrase comme au-devant de sa propre mort. Accepter de n’être plus protégé par rien et recevoir le coup de grâce d’une parole claire en son obscurité.
Nous utilisons des cookies pour vous garantir la meilleure expérience sur notre site. Si vous continuez à utiliser ce dernier, nous considérerons que vous acceptez l'utilisation des cookies.Ok